50 ans de la Paroisse 1974-2024

Mot du Père Alexandre

Nous voici au seuil d’une étape importante : les 50 ans de la création officielle de notre paroisse par décret synodale.

En 1970, un groupe de personnes qui deviendront les fondateurs de notre paroisse, ont pu vivre la première liturgie en français, au Centre orthodoxe de Chambésy, avec la bénédiction et la participation de Mgr Damaskinos, de bienheureuse mémoire, qui deviendra peu après le premier métropolite de Suisse.

C’étaient des visionnaires dans la Tradition ! En effet, cette initiative était inspirée par l’Esprit-Saint, selon les paroles du Christ : « Allez, faites de toutes les nations des disciples, les baptisant au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit » (Mt 28, 19). Ils ressentaient l’urgence de rendre compréhensibles les offices dans la langue locale, afin de vivre plus pleinement cette grande richesse des célébrations liturgiques. Et cela me fait penser à cette période de la Pentecôte que nous vivons actuellement. En effet, le mot Pentecôte, veut justement dire Cinquantième. C’est 50 jours après la Résurrection de Notre Seigneur Jésus Christ, que le Saint-Esprit, le Paraclet, le Consolateur est descendu sur les apôtres sous forme de langues de feu. C’est la création de l’Église comme Corps du Christ. Quatre ans après cette naissance de notre communauté francophone, nous avons reçu la grande bénédiction de fonder notre paroisse sous le vocable de la sainte Trinité et de la sainte mégalomartyre Catherine.

À l’aune de l’histoire de l’Église, ce n’est que l’instant d’un battement d’aile, mais au regard d’une vie humaine, c’est un temps de passage vers la maturité, un temps d’action de grâce pour célébrer l’action du Seigneur, un temps de conversion et de nouveau départ. C’est l’occasion aussi de remercier les fondateurs de notre paroisse, surtout et avant tout Marina (de bienheureuse mémoire) et Tikhon Troyanov, le père Georges Tstetsis ainsi que Pierre et Penka Ronget, qui soutiennent toujours activement notre paroisse. C’est un temps pour prier pour nos défunts de bienheureuse mémoire qui ont soutenu ce grand projet de la création de notre paroisse, dont le métropolite Damaskinos et les bienfaiteurs Georges Lemos et sa femme Katingo (Catherine) et de Marina Troyanov. Que Dieu leur accorde une mémoire éternelle !

Je tiens à remercier de tout cœur toutes celles et tous ceux qui participent au bon déroulement de la vie de notre paroisse et un grand merci à tous ceux qui soutiennent la paroisse par vos dons.

« Il en est du royaume de Dieu comme quand un homme jette de la semence en terre ; qu’il dorme ou qu’il veille, nuit et jour, la semence germe et croît sans qu’il sache comment » (Mc 4, 26). Nous pouvons contempler aujourd’hui les fruits de ce que les fondateurs ont semé, et nous en profitons. Cependant, nous aussi nous avons à préserver ces fruits ; nous aussi, nous avons à semer des graines afin de témoigner de l’Amour et de la Bienveillance de Dieu. En effet : « Personne n’allume une lampe pour la mettre dans un lieu caché ou sous le boisseau, mais on la met sur le chandelier, afin que ceux qui entrent voient la lumière » (Lc 11, 33). Quels projets pouvons-nous mener pour témoigner et pour mettre sur le chandelier  cette flamme dont nous avons hérité ? Ne nous reposons pas sur nos lauriers, n’ayons pas peur d’agir dans le Seigneur et soyons audacieux : « Vous, au contraire, vous êtes une race élue, un sacerdoce royal, une nation sainte, un peuple acquis, afin que vous annonciez les vertus de Celui qui vous a appelés des ténèbres à son admirable lumière » 1 Pierre 2, 9.

Que Dieu bénisse et protège son héritage et nous accorde encore de nombreuses années à son service !

Père Alexandre

Les origines : Témoignages de Marina Troyanov (de bienheureuse mémoire)

НЕТ ХУДА БЕЗ ДОБРАà quelque chose malheur est bon…

Marina et Tikhon Troyanov

Au XXe siècle dans la jolie ville de Lausanne, sur les bords du lac Léman en Helvétie, vivaient deux jeunes orthodoxes dont les familles avaient fui leur patrie, la Russie de Lénine et la ville de Constantinople d’Atatürk. Merci à ces dictateurs d’avoir favorisé la rencontre de ces jeunes, rencontre pas si anodine puisque, dès le printemps 1970, leur histoire se conjugue avec l’histoire de notre paroisse. Aujourd’hui, en pleine préparation du cinquantenaire de la paroisse, il m’a été demandé de vous raconter justement les prémices de notre paroisse et je rassemble donc mes souvenirs…

Or, voilà que (comme aime à le dire souvent notre cher père Alexandre en cours de sermons)le coronavirus est venu s’en mêler en ravivant, selon le dicton, « à quelque chose malheur est bon », l’enthousiasme et la force qui nous habitaient et que je ressens subitement à nouveau en ces jours. En effet, comme alors, nous devons, aujourd’hui, faire preuve de créativité, d’imagination, d’entraide et de prouesses informatiques pour maintenir le contact entre les paroissiens et combler le vide ecclésial qui s’est installé en plein Grand Carême.

Or donc, je reprends le fil de mes souvenirs qui remontent à la Pentecôte occidentale de 1970, très exactement au 18 mai 1970. Entraînés par Pierre Mirimanoff, nous étions descendus à Marseille avec quelques amis pour participer au Congrès annuel de la JOM (Jeunesse orthodoxe du Midi) dirigé par le regretté père Cyrille Argenti. Merci Pierre, cette expérience a bouleversé ma vie. De retour à Genève et obnubilée par l’enrichissement de ce week-end, j’ai appelé la paroisse grecque en me présentant comme une Suissesse orthodoxe grecque qui ne comprend rien à la liturgie en grec. Ma question était de savoir si, par hasard, la paroisse offrait parfois des liturgies en français.

Mgr Damaskinos de Suisse

C’est le père Damaskinos qui m’a répondu en m’invitant à venir le samedi suivant puisque, justement, on allait célébrer la première liturgie en français. Nous étions quatre curieux, le samedi 23 mai, dans la chapelle orthodoxe de Chambésy. Le père Jürgen Kassing de Taizé célébrait la liturgie et le père Damaskinos chantait. Remarquant que nous chantions aussi, le père Damaskinos nous proposa de chanter à sa place. Pour faire mieux connaissance, il nous invita à prendre un café ensemble après la liturgie et nous offrit de célébrer une liturgie en français, une fois par mois : le troisième dimanche de chaque mois à 8 h 30 du matin avant la célébration de la liturgie en grec dans la même chapelle. On installait spécialement pour nous un petit autel placé devant l’autel principal, offrant ainsi la possibilité de célébrer deux liturgies le même jour en un même lieu.

Père Georges Tsetsis

De quatre curieux nous sommes passés à treize et avons rapidement eu la chance de recevoir un très précieux soutien du père Georges Tsetsis, très intéressé par notre démarche. C’est lui qui a eu l’idée d’organiser un catéchisme pour adultes, c’est lui qui a procédé au premier baptême d’un bébé, qui, plus tard, deviendra l’un de nos paroissiens. C’est lui encore qui présenta notre travail et nos ambitions au Synode à Constantinople pour obtenir finalement pour nous, le 8 août1974, le statut de paroisse : la première paroisse orthodoxe francophone au sein d’un diocèse grec !

Le père Georges continue encore et encore à veiller sur nous, à nous conseiller et nous guider sagement. Merci cher père Georges !

Merci à nos amis les prêtres grecs qui ont officié pour nous pendant cette période de transition avant l’arrivée du père Jean Renneteau au mois de novembre 1974.

Une identité locale (interview avec Pierre Ronget)

Fidèle à l’Église primitive, l’Église orthodoxe en a gardé l’essentiel. Par conséquent, si l’on veut vivre pleinement cet enseignement, il importe que la vie liturgique se passe dans la langue du pays, tout comme cela fut le cas après le baptême de la Russie, à Kiev : les offices étaient célébrés dans une langue que tous les gens pouvaient comprendre. Cela me paraissait et me paraît encore  fondamental et c’est dans cette optique que nous avons travaillé pour participer à l’implantation, ou plutôt à la réimplantation de l’orthodoxie en Occident.

À un évêque qui me disait : « Apprends le russe et tu seras orthodoxe », j’avais répondu que mes enfants futurs entendraient les offices liturgiques dans la langue du pays.  À l’âge de quatre ans, ma fille, écoutant les propos d’un jésuite qui parlait de la Trinité, avait précisé : « Elle est consubstantielle et indivisible. » Elle ne le comprenait pas encore, mais elle entendait cela chaque dimanche à l’église, cette formule était imprégnée en elle. Sans doute n’aurait-t-elle pas intégré cet élément essentiel de la foi, si elle l’avait entendu en slavon ou en grec. Une chose m’a toujours paru essentielle : pour pouvoir vivre pleinement les offices liturgique notamment les vêpres, qui sont une préparation importante à la Liturgie eucharistique, il est beaucoup plus aisé, même indispensable, de s’y préparer en intégrant le texte dans sa propre langue parlée,  plutôt qu’en assistant à l’office dans une langue liturgique traditionnelle, mais inconnue, en le suivant avec une traduction, aussi bonne soit-elle.

Pourquoi suis-je devenu chef de chœur ? Au tout début, lorsque les offices ont été célébrés régulièrement à l’église grecque dans la petite église de la villa, il fallait un maître de chapelle, et j’étais le seul à pouvoir assumer cette fonction. Ce n’était pas facile : nous avions très peu de partitions, les textes liturgiques existaient bien,  mais il fallait les trouver, les recopier, les multicopier. Cela exigeait un important travail. Je me souviens que lors de la première célébration de la Semaine Sainte dans la crypte, j’étais au service militaire et j’écrivais la partition du Canon de Pâques, j’avais obtenu un congé et j’arrivais le jeudi soir pour l’office des 12 Évangiles, on répétait, le samedi après-midi les matines pascales que l’on chantait le soir. Chaque fois, il fallait chercher un prêtre célébrant, jusqu’au jour où nous avons rencontré providentiellement le père Jean. C’était chaque fois une sorte de petit miracle que l’office puisse avoir lieu. 

Ainsi nous avons pu vivre notre vie liturgique, semaine après semaine, année après année. Nous  trouvions appui auprès de références qui étaint essentielles pour nous, tel le père Boris Bobrinskoy. De plus nous participions régulièrement aux congrès de la Jeunesse orthodoxe du Midi de la France, auprès du père Cyrille Argenti. C’étaient des moments riches et qui nous permettaient de faire le plein d’énergie et d’enthousiasme. Nous voulions vivre cela chez nous.  Notre vie paroissiale était aussi nourrie par les célébrations annuelles de la fête patronale de Sainte-Catherine auxquelles ont participé des personnes extraordinaires tels que le père Boris Bobrinskoy, l’évêque Kallistos (Timothy Ware), Olivier Clément, le père Cyrille Argenti.  Ainsi, cette paroisse créait des liens forts avec tous ceux qui développaient une réflexion sur l’orthodoxie en Occident.

La crypte de Chambésy n’est pas la première église orthodoxe abritant une paroisse de langue française. La crypte de la cathédrale Saint-Alexandre-Nevsky, à Paris, la paroisse du père Cyrille à Marseille, existaient déjà, ainsi que la paroisse du patriarcat de Moscou, Sainte-Geneviève, rue Saint-Victor à Paris également.

Cette communauté orthodoxe francophone, existait déjà avant la création du Centre orthodoxe du Patriarcat œcuménique de Chambésy. Dans la chapelle de la villa, notre vie liturgique se limitait aux liturgies eucharistiques que nous devions célébrer et chanter avant la liturgie en grec. Nos liturgies en français étaient célébrées sur une petite table placée devant l’autel, avec un antimension que l’on pouvait déplacer. C’était une opportunité extraordinaire, mais il fallait toujours se hâter, car à 10h30, commençaient les matines avant la liturgie de la communauté grecque.

En 1974, le père Georges Tsetsis nous a suggéré d’écrire une lettre au patriarche Dimitrios 1er pour lui demander de définir notre statut. Nous étions alors un petit groupe de francophones liés à la paroisse  grecque. Tikhon Troyanov et moi-même avons donc écrit cette lettre et, après quelques visites d’évêques venus contrôler nos célébrations et nos textes liturgiques, nous avons été très agréablement surpris que le Patriarcat œcuménique décide de nous octroyer le statut de paroisse orthodoxe francophone. Le père Jürgen fut notre premier prêtre titulaire. Par la suite, nous avons eu le privilège de rencontrer le père Jean qui est devenu le recteur de notre paroisse pendant 40 ans.

Au moment de célébrer le demi-siècle de la paroisse de la Sainte-Trinité et Sainte-Catherine, il importe de souligner que cette paroisse, n’a jamais été liée à une ethnie, elle n’est unie que par sa langue liturgique, la langue française. Il nous importait de témoigner dans la langue du pays où l’on vit et cela a pu se faire.  C’est une paroisse ouverte aux autres et qui accueille les autres. La progression est constante. Le nombre de paroissiens augmente d’environ 5  % par année.  Cela correspond et répond donc à un besoin, nous avons le devoir de contribuer à la visibilité de L’Église orthodoxe à Genève.

En vivant pleinement le présent nous devons anticiper l’avenir. Que sera notre paroisse dans 30 ans ? Il convient de vivre maintenant dans une perspective dynamique et d’envisager la construction d’une nouvelle église à Genève, pour la paroisse orthodoxe francophone du  diocèse de Suisse du Patriarcat œcuménique.

Quelques souvenirs de Pierre Ronget, paroissien de la première heure, chef du chœur depuis bientôt cinquante ans, président du Conseil de paroisse.
Propos recueillis par un paroissien.

Souvenir en vrac : Témoignage d’un paroissien

Au début des années 1960 il n’existait à Genève que deux églises orthodoxes. La plus grande, la plus connue, dédiée à l’Exaltation de la Sainte Croix, officiellement destinée « à tous ceux qui pratiquent le culte grec » (Acte du Grand Conseil de la République et Canton de Genève),  dont les paroissiens appartenaient pour la plupart à l’émigration russe. Et une chapelle relevant du Patriarcat de Moscou.

Pour des raisons surtout politiques et historiques, le clergé et les fidèles de ces deux paroisses ne se fréquentaient pas, en principe. En pratique, c’était un peu différent. La communauté grecque, quant à elle, ne disposait pas encore de son propre lieu de culte et les offices étaient célébrés dans l’église américaine.

Quelques étudiants orthodoxes, toutes juridictions confondues, se rencontraient régulièrement. Des théologiens, évêques, prêtres ou laïcs venaient les entretenir sur des thèmes qui leur tenaient à cœur, et les conférences se poursuivaient à l’aube du lendemain par une Divine Liturgie célébrée en français. Ce qui n’était pas vraiment dans les mœurs de l’époque. Il semblait clair et évident que pour être orthodoxe, que l’on soit de souche grecque ou russe, (ou ni de l’une ni de l’autre), la connaissance du grec ou du russe était une condition incontournable.

Il existait certes des communautés, à Paris et à Londres, en Allemagne également, qui avaient adopté la langue locale comme langue liturgique. Ce n’était pas toujours très bien vu. À Marseille, le père Cyrille (Argenti) de bienheureuse mémoire, soucieux d’offrir aux scouts grecs et à tous les jeunes orthodoxes de sa paroisse, dont  une grande partie ne parlaient que le français, une pastorale et une vie une liturgique qui leur soit accessible, avait ouvert une petite chapelle orthodoxe francophone, non loin de l’église grecque, la plus ancienne église orthodoxe de France.

Le monastère protestant de Taizé, en Bourgogne, soucieux d’œcuménisme, avait édifié en 1965 une chapelle orthodoxe en son sein, et un skite abritant deux moines, dont le père Damaskinos, futur métropolite de Suisse. Pour la consécration de cette chapelle,  Mgr Meletios, métropolite du Patriarcat œcuménique et Mgr Antoine, exarque du Patriarcat de Moscou, concélébrèrent la Divine Liturgie dans la grande église de Taizé. Un petit groupe d’étudiants genevois emmenés par Mgr Antoine, s’apprêtaient à chanter, en français, à cette liturgie. Mais un groupe de scouts grecs de Marseille, conduits par le père Cyrille, avait le même projet. Balayant cette concurrence et les réunissant tous en un seul chœur, le père Cyrille suscita une amitié durable et devint rapidement l’un des conférenciers les plus réguliers des étudiants genevois et de la future paroisse orthodoxe francophone de Chambésy.

Il importe de souligner l’importance décisive des congrès du père Cyrille dans la création, par plusieurs diocèses orthodoxes, de paroisse francophones. Ces congrès régionaux, animés par des conférenciers invités, réunissaient, dans les environs de Marseille, des fidèles intéressés par la spiritualité, la vie liturgique, la théologie et l’histoire et de l’Église. Leur exemple fut suivi par des paroisses et par des groupes d’orthodoxes de tous les coins de la France, jusqu’à un événement historique inoubliable : le premier Congrès de la Fraternité orthodoxe, rassemblant à Annecy-le-Vieux, en 1971, des orthodoxes de tous âges, de toutes origines et de toutes juridictions. Il fut suivi, presque régulièrement, tous les trois ans, par des Congrès de toute la France et des pays voisins, témoignant ainsi de l’unité de l’Église orthodoxe dans sa diaspora.

Le Centre orthodoxe à Chambésy

C’est dans cet esprit que l’évidence s’imposa à Genève, à l’église russe et très bientôt au nouveau Centre orthodoxe du Patriarcat œcuménique, d’une vie liturgique célébrée dans la langue locale, faisant du français une nouvelle langue liturgique après le grec, l’arabe, le slavon, le roumain.

Et comme à la Pentecôte, « chacun d’eux entendait dans son propre dialecte ceux qui parlaient. Dans la stupéfaction et l’émerveillement, ils disaient […]. Comment se fait-il que chacun de nous les entende dans son propre dialecte, sa langue maternelle ? Parthes, Mèdes et Élamites, habitants de la Mésopotamie, de la Judée et de la Cappadoce, de la province du Pont et de celle d’Asie, de la Phrygie et de la Pamphylie, de l’Égypte et des contrées de Libye proches de Cyrène, Romains de passage, Juifs de naissance et convertis, Crétois et Arabes, tous nous les entendons parler dans nos langues des merveilles de Dieu » (Actes des Apôtres 2: 8-11).

T-Shrit de la Paroisse

Pour marquer les 50 ans de la paroisse, nous proposons de faire imprimer des T-Shirt avec le logo de la paroisse. C’est une possibilité de soutenir votre paroisse.

Vous pouvez faire une précommande pour vous-même ou pour offrir à votre famille ou à vos proches. Vous pouvez nous envoyez un e-mail (alix.sadkowski@gmail.com) ou prendre directement contact avec Alix en indiquant le modèle ou les modèles, la taille ou les tailles et la quantité.

Le T-Shirt est au prix de 15 fr. Les Tailles Hommes et Femmes sont S M L XL.

Pour des tailles enfants merci de nous transmettre juste l’âge.

Précommande avant le 7 avril.

Projet livre de carême

Pour marquer les 50 ans de la paroisse, nous avons le projet d’éditer un livre de recettes de carême. C’est un projet inédit en français qui pourrait nous aider à vivre le carême. Nous voudrions aussi que ce soit un projet qui unit les paroissiens. Pourriez-vous nous transmettre la ou les recettes de famille (100% carêmique) que vous préférez, que vous réalisez durant le carême que nous pourrions partager dans ce livre de recettes ? A l’adresse e-mail prévue pour cela : recettes.caremiques@outlook.com

Projets pour marquer les 50 ans de la paroisse

Chers paroissiens,

Comme vous le savez, cette année est importante pour la paroisse car nous fêtons les 50 ans de sa création. Année de jubilée, de joie et que nous souhaitons parsemer de moments phares tout au long de l’année.

Dans ce contexte, voici quelques idées qui ont été proposées par des paroissiens dont certains sont déjà en cours de réalisation ce qui est réjouissant. Si vous souhaitez en savoir plus ou partager vos idées, voici ci-joint la liste des projets et les personnes de contact.

Si vous avez d’autres idées inspirantes qui pourraient marquer l’année et la célébrer, n’hésitez pas à prendre contact avec le père Alexandre. Notre souhait serait que le maximum de paroissiens puissent participer d’une manière ou d’une autre pour faire de cette année une bénédiction pour chacun d’entre nous.

Liste des projets

Documentaire réalisé pour les 40 ans de notre paroisse